dimanche 13 décembre 2009
mardi 1 décembre 2009
Discrimination dans la publicité : le "porno-chic" disparaît mais le sexisme perdure
Il est vrai que le mot "sexisme" revient à plusieurs moments dans mon blog mais il est intéressant pour moi de voir les différentes évolutions ainsi que les différents points de vue des médias. Dans mes recherches je suis tombée sur un article de "Libération" qui me semble très intéressant, riche en informations et synthétique en même temps.
Brève définition de l'ARPP: Il s'agit d'une association interprofessionnelle privée de type loi de 1901. Sa mission est de mener une action en faveur d'une publicité loyale, véridique et saine dans l'intérêt des consommateurs, du public et des professionnels de la publicité. En d’autres termes, sa mission est de parvenir à concilier liberté d’expression publicitaire et respect des consommateurs. Le maintien de cet équilibre entre créativité et responsabilité est au cœur de l’autodiscipline publicitaire.
Selon le rapport de l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité, les publicitaires en France n'ont presque plus fait appel aux codes visuels du "porno chic" en 2008 mais certaines affiches restent machistes.
Les publicitaires en France n'ont presque plus fait appel aux codes visuels du "porno chic" en 2008 mais certaines affiches restent sexistes, a dit lundi l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP) dans son bilan annuel. "L'étude révèle la disparition quasi-totale du phénomène du porno chic, dont le bilan 2007 avait souligné l'inquiétante résurgence ponctuelle", indique l'ARPP, qui a examiné 90.996 publicités en 2008.
Globalement, seuls "46 cas de manquements à la recommandation 'image de la personne humaine' ont été relevés (dont seulement 5 cas de porno chic, ndlr), soit 0,05%" du total, contre un taux de 0,10% en 2007, ce qui fait de 2008 "un cru historiquement bon en matière de respect des règles", se félicite l'ARPP. "Dans ce paysage apaisé, les manquements constatés marquent un retour aux basiques: gros plans aguicheurs sur des postérieurs ou décolletés féminins dénudés sans relation avec le produit, femmes objets sexuels, hommes à femmes, allusions et représentations graveleuses", indique l'ARPP, qui note aussi "un net recentrage des atteintes sur les femmes".
L'Autorité cite le cas de femmes aux poses suggestives pour des publicités de motos ou d'accessoires de voitures, de couples nus pour des publicités de services (assurance, finance, distribution...) ou encore le buste d'une femme en train de se déshabiller pour de la réclame informatique. Autres manquements constatés, des atteintes à la dignité de personnages en raison de leur physique ou de leur âge. Il s'agit parfois de personnages en surpoids ridiculisés (deux cas), d'hommes au physique ingrat (petits, gros, chauves, boutonneux...) mais attirant de jolies filles grâce à leur argent (cinq cas) ou d'allusions douteuses à la sexualité défaillante de personnages âgés (deux cas), selon l'ARPP.
Selon le rapport de l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité, les publicitaires en France n'ont presque plus fait appel aux codes visuels du "porno chic" en 2008 mais certaines affiches restent machistes.
Les publicitaires en France n'ont presque plus fait appel aux codes visuels du "porno chic" en 2008 mais certaines affiches restent sexistes, a dit lundi l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP) dans son bilan annuel. "L'étude révèle la disparition quasi-totale du phénomène du porno chic, dont le bilan 2007 avait souligné l'inquiétante résurgence ponctuelle", indique l'ARPP, qui a examiné 90.996 publicités en 2008.
Globalement, seuls "46 cas de manquements à la recommandation 'image de la personne humaine' ont été relevés (dont seulement 5 cas de porno chic, ndlr), soit 0,05%" du total, contre un taux de 0,10% en 2007, ce qui fait de 2008 "un cru historiquement bon en matière de respect des règles", se félicite l'ARPP. "Dans ce paysage apaisé, les manquements constatés marquent un retour aux basiques: gros plans aguicheurs sur des postérieurs ou décolletés féminins dénudés sans relation avec le produit, femmes objets sexuels, hommes à femmes, allusions et représentations graveleuses", indique l'ARPP, qui note aussi "un net recentrage des atteintes sur les femmes".
L'Autorité cite le cas de femmes aux poses suggestives pour des publicités de motos ou d'accessoires de voitures, de couples nus pour des publicités de services (assurance, finance, distribution...) ou encore le buste d'une femme en train de se déshabiller pour de la réclame informatique. Autres manquements constatés, des atteintes à la dignité de personnages en raison de leur physique ou de leur âge. Il s'agit parfois de personnages en surpoids ridiculisés (deux cas), d'hommes au physique ingrat (petits, gros, chauves, boutonneux...) mais attirant de jolies filles grâce à leur argent (cinq cas) ou d'allusions douteuses à la sexualité défaillante de personnages âgés (deux cas), selon l'ARPP.
La discrimination dans la publicité à travers le sexisme en Belgique
Etant donné que l'un de mes articles parle de ce sujet j'ai décidé de vous faire part de l'article de Sabrina qui me semble intéressant et dans lequel vous pourrez voir le sexisme dans la publicité belge... Ceci vous montre ainsi en quoi ce phénomène n'est pas que francophone.
Il s'agit de l'entreprise Home Entertainment Services, société qui instaure un système novateur de location de DVDs. Bonne lecture à tous!
Voici l'article:
lundi 30 novembre 2009
le sexisme dans la publicité ou la discrimination dans la publicité (de la femme dans ce cas-ci)
Pour mettre un article dans le même esprit qu’un ancien (ici) : le sexisme dans la publicité ou la discrimination dans la publicité (de la femme dans ce cas-ci)
le sexisme dans la publicité ou la discrimination dans la publicité (de la femme dans ce cas-ci)
Pour mettre un article dans le même esprit qu’un ancien (ici) : le sexisme dans la publicité ou la discrimination dans la publicité (de la femme dans ce cas-ci)
Pour retourner à mon pays natal et une campagne de là-bas : la campagne de publicité belge « Rent a Wife ». Ici, il s’agit de la pub pour l’entreprise Home Entertainment Services. Cette entreprise loue des dvds. ‘Pourquoi une campagne qui s’appelle « Rent a Wife » pour une entreprise qui loue des dvds ?’ est probablement votre question. Vous pouvez découvrir ça à travers de cet article.
Description du projet « Rent a Wife »« Rent a Wife » est la première service pour louer une femme à travers d’internet. Le site web, qui tient 9 584 femmes dans sa ‘catalogue’ vous permets de choisir votre femme favorite en quelques clics. Il semble d’être même une catalogue comme dans un site web d’e-commerce classique. Chaque femme a des caractéristiques typiques pour elle. Si vous le souhaiteriez, vous pouviez même louer 8 femmes en même temps.
C’est ça, le buzz. Je vois déjà vos yeux qui brillent en pensant à cette idée, selon certains, c’est une idée novatrice… Mais jouant sur ce cliché sexiste, cette campagne était une blague énorme, car après tout c’était une campagne publicitaire pour Home Entertainment Services qui loue des dvds. Tout ce dit, on pourrait dire que c’était probablement une des plus grande buzz marketing campagne jamais faite. A part du site web, il y a été créé un spot publicitaire et une campagne de relations publiques. Résultat : une vague de réactions (positives et négatives bien sûr) qui ont traversé la Belgique et beaucoup plus que ça.
Pub sexiste et discriminatoire ou pas ?Comme dit précédemment, le lancement de cette campagne publicitaire a crée une vague de réactions positives et négatives. Certains trouvaient cette pub sexiste et surtout de la discrimination de la femme, autres pensaient que c’était un concept bien marrant et encore autres ont bien aimé cette pub MAIS auraient bien aimé de voir une pub pareil utilisant des hommes. Des discussions des heures et des heures peuvent avoir lieu à cause d’une publicité comme ça, mais après tout il y a quelques conclusions qu’on peut en tirer (à savoir que j’essaie de faire ça avec un regard qui choisit pas de côtés).
Pub sexiste et discriminatoire ou pas ?Comme dit précédemment, le lancement de cette campagne publicitaire a crée une vague de réactions positives et négatives. Certains trouvaient cette pub sexiste et surtout de la discrimination de la femme, autres pensaient que c’était un concept bien marrant et encore autres ont bien aimé cette pub MAIS auraient bien aimé de voir une pub pareil utilisant des hommes. Des discussions des heures et des heures peuvent avoir lieu à cause d’une publicité comme ça, mais après tout il y a quelques conclusions qu’on peut en tirer (à savoir que j’essaie de faire ça avec un regard qui choisit pas de côtés).
Conclusions :
La femme est réduit à la femme-objet
On utilise la femme comme stéréotype
Une plainte pour infraction sur la loi de la anti-discrimination
Résultat : ils (Home Entertainment Services et l’agence web Emakina) ont dû retirer la campagne à cause de discrimination de la femme. Si la campagne serait répétée, ils doivent payer une astreinte de 2 500 euros. Ces 2 choses ont été conclu par le tribunal à Bruxelles après une plainte de Zorra qui se bat pour l’image stérotype de l’homme et de la femme dans la publicité.Pour Home Entertainment Services. L’entreprise est arrivé à bénéficier quand même de cette campagne (de discrimination de la femme). Son chiffre d’affaires a augmenté comme on peut pas s’imaginer grâce à une campagne de pub. Même si à la fin, la campagne a été trouvé discriminatoire pour la femme, elle a eu le temps de crée un buzz énorme et d’avoir un public énorme qui était au courant de cette campagne.
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